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Cie Mossoux-Bonté

Presse

(...) Le trouble est partout, envahissant sournoisement la salle qui se demande en permanence ce qui va advenir. Rien n’est réellement défini mais seulement suggéré, peut-être pour laisser au spectateur le soin de compléter par ses propres émotions et son vécu la trame qui lui est offerte. Il en ressort une œuvre forte, devant être vécue par des interprètes de haut niveau et réellement engagés.

Jean-Marie GourreauCritiphotodanse / Avril 2011

 

(...) L'absence de texte fait non seulement tomber la barrière de la langue mais ouvre également l'interprétation et suscite le trouble dans lequel le spectacteur peut se sentir impliqué. Le spectacle est un objet visible par tout le monde et partagé avec le public, par les acteurs danseurs.Tout est dans la suggestion, la proposition, l'invitation à entrer dans un univers qui permettra de construire ses propres images.(...)

Didier Béclard, L'Echo / Janvier 2009