© Danièle Pierre
© Mikha Wajnrych
Cie Mossoux-Bonté

Presse

C'est à une chorégraphie sensible, entre équilibre et fragilité, que la Compagnie belge Mossoux-Bonté nous convie. L'impression d'apesanteur nous donnerait presque des ailes !

V.P., Elle / Novembre 2011

 

Trois corps suspendus, perdus, tendus qui se croisent et s'entrecroisent dans un très surprenant sentiment d'osmose absolue.

O.H., Le Vif-L'Express / Mai 2008

 

Au sol, sept musiciens, mais la musique de Scelsi s’élève jusqu’au ciel. Dans les airs, trois notes suspendues : danseuses grises comme dupliquées accrochées à trois cordes rouges. D’abord immobiles, elles vont s’envoler et danser une autre partition. Envoûtante, fascinante comme la musique. Les spectateurs vont peu à peu entrer dans une hypnose dont ils ne se réveilleront que pour ovationner musiciens et danseuses. Merci de cette joie.

Danièle Carraz, La Provence / Février 2008

 

Un voyage tangible au pays d’une certaine méditation collective… Troublant, très troublant.

O.H., Le Vif-L'Express / Mars 2007

 

Un spectacle envoûtant et planant, d'un raffinement complet.

Guy Duplat, La Libre Belgique / Mars 2007

 

Les danseuses dansent dans les airs et volent sur le sol dans de splendides mouvements au ralenti où elles semblent littéralement suspendues au coeur du temps. Un spectacle magique qui met le spectateur dans un étrange et merveilleux état d'apesanteur.

Jean-Marie Wynants, Le Soir / Mars 2007