© Mikha Wajnrych
© Patrick Bonté
Cie Mossoux-Bonté

Presse

Danse sans fil, le solo Alban est un intense morceau de cruauté picturale, mis en scène par Nicole Mossoux. (Victor) Dumont, poitrail aux côtes saillantes, comme sorti d’un tableau du Gréco, énorme jupe sous la taille, bouge très lentement, déployant parfois ses ailes, comme un Saint Sébastien appelant des flèches imaginaires à le torturer. Etonnant.

Christian Jade, RTBF.be / Mars 2017

 

La vie, la mort, les pulsions et leur combat toujours recommencé hantent Alban de la Cie. Mossoux-Bonté.

Marie Baudet, La Libre / Mars 2017

 

Alban met en scène une créature entre le guerrier, l’oiseau et la sirène. Victor Dumont donne corps à ce lent et captivant combat où s’insinuent les pulsions de vie et de mort.

Marie Baudet, La Libre / Octobre 2018

 

Solo créé en 2017, (Alban) construit un univers très fort autour du danseur Victor Dumont, qui se meut torse nu et vêtu d’une grande jupe. Le travail sur le corps (...) est très présent, le jeu avec les lumières, très découpées, lui permettant d’escamoter certaines parties de son corps dans l’obscurité, pour mieux détacher celles qui restent en lumière, avec des effets magnifiques. Une pièce à l’énergie concentrée, toute en mouvements lents et tendus, en torsions et rotations. La musique, qui flirte avec la musique concrète, fait intervenir des bruits de la nature: écoulement de l’eau, choc des pierres les unes contre les autres… Cela donne, en contrepoint à la danse très intense au point qu’on pourrait la dire torturée, une sorte de magie primitive et tellurique. Terriblement beau.

Mathieu Dochtermann, TouteLaCulture.com / Octobre 2018